Pour comm
Trop beau
Dans tes nuits étoilés, dans tes jours ensoleillés,
Tes pensées se perdent dans l’infini firmament,
Ton coeur brûlé d’amour et ton âme émerveillée
T’intiment de rester fidèle à ton amant.
Un soupçon de regret, comme une goutte de lune,
Vient troubler ton âme et t’inciter à rompre
La liaison à péril que morale condamne
Que bannit religion et frappe d’opprobre
La douleur t’accable à trop penser repentance,
L’oppression t’assiège à trop penser l’étreinte,
La passion t’aveugle, ta raison n’énonce
De salut, ni de voie à suivre sans attente.
Tu es prise entre deux forces opposées
Jamais conciliables, en lutte féroce
Constamment, sans répit, violente et osée,
A double visage et toujours tenace.
Tu aimes le feu de l’amour qui brûle ton corps :
Tu le vis à chaque instant, de jour de nuit,
Jusque dans tes rêves, comme parure d’or,
Que n’ait portée reine, qui sans cesse reluit.
Tu hais le feu de dieu mais tu t’en approches,
Sans souci, convaincue du grand pardon divin,
D’en sortir sans affres, toujours de peau blanche,
Belle et désirable, attrayante par tes seins.
Tu aimes aussi le paradis de l’amour,
Ses folles étreintes, ses tendres caresses,
Ses grisants fantasmes, ses folies pour toujours,
Ses beaux instants que tu prolonges sans cesse.
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