les mers du silence Ahmed Bencherif

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

                                       Les mers du silence

          

           Oh ! Ces mers du silence angoissant à mourir,

           Où toute noyade nous semble bien acquise, 

           Maître nageur absent, dieu voulant me punir,  

           Pour mes péchés passés, leçon de foi apprise.          

           Le miroir de mes ans sera-t-il séducteur

           Pour ces fleurs en bourgeons et de partout fardées ?

           Aux amis, sera-t-il encore révélateur

           De bonne compagnie sans faveurs accordées ? 

           Est-ce la rupture avec mon tempérament, 

           Mes plis de jeunesse, mes longues rêveries,

           Mes loisirs, mes plaisirs et leurs enchantements,

           L’adieu au romantisme de mes belles prairies ?

           Si ma fougue s’en va, moi je reste présent.

           Devrais-je la déplorer par de longs soupirs

           Ou bien en compenser l’effet avec raison

           Et de tous ses manques savoir me prémunir ?         

           Et je ferai de mon cœur un océan d’amour,

           Une mer de bonté, un fleuve de passions,   

           Un livre des rêves, l’espace de beaux jours,  

           Une île d’évasions, un azur de fictions.       

           J’écrirai les beautés du monde comme il est :

           Chanter toujours la femme dans mes poèmes,

           L’aimer à en mourir, de folie m’emballer,

           Toujours la magnifier, chercher ses emblèmes.

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