De la nuit
Quel beau séjour dans les nuits longues
Quand âme ne vive, ne respire,
Que se tuent les mauvaises langues,
Epuisées tout le jour de médire.
Que vienne le temps de communier
Sous le ciel constellé ou gris sombre
Quand soufflent les brises raréfiées
Que tombe la rosée sans nombres.
Eté, printemps, automne et hiver
Le désir est toujours conquérant,
Tendre ou Violent, mais téméraire,
Berceur d’évasion et suggérant,
Puis soufflant chaud enfin affolant
Moissonnant les beaux champs de l’extase,
Sous l’ardeur des cœurs pris dans l’élan,
Quand la passion survoltée embrase.
Alors c’est la promesse de l’amour
Couronné de bonheur fastueux
Conçu sans magie par tes atours,
D’inégal panache somptueux.
De la nuit
Quel beau séjour dans les nuits longues
Quand âme ne vive, ne respire,
Que se tuent les mauvaises langues,
Epuisées tout le jour de médire.
Que vienne le temps de communier
Sous le ciel constellé ou gris sombre
Quand soufflent les brises raréfiées
Que tombe la rosée sans nombres.
Eté, printemps, automne et hiver
Le désir est toujours conquérant,
Tendre ou Violent, mais téméraire,
Berceur d’évasion et suggérant,
Puis soufflant chaud enfin affolant
Moissonnant les beaux champs de l’extase,
Sous l’ardeur des cœurs pris dans l’élan,
Quand la passion survoltée embrase.
Alors c’est la promesse de l’amour
Couronné de bonheur fastueux
Conçu sans magie par tes atours,
D’inégal panache somptueux.
De la nuit
Quel beau séjour dans les nuits longues
Quand âme ne vive, ne respire,
Que se tuent les mauvaises langues,
Epuisées tout le jour de médire.
Que vienne le temps de communier
Sous le ciel constellé ou gris sombre
Quand soufflent les brises raréfiées
Que tombe la rosée sans nombres.
Eté, printemps, automne et hiver
Le désir est toujours conquérant,
Tendre ou Violent, mais téméraire,
Berceur d’évasion et suggérant,
Puis soufflant chaud enfin affolant
Moissonnant les beaux champs de l’extase,
Sous l’ardeur des cœurs pris dans l’élan,
Quand la passion survoltée embrase.
Alors c’est la promesse de l’amour
Couronné de bonheur fastueux
Conçu sans magie par tes atours,
D’inégal panache somptueux.
De la nuit
Quel beau séjour dans les nuits longues
Quand âme ne vive, ne respire,
Que se tuent les mauvaises langues,
Epuisées tout le jour de médire.
Que vienne le temps de communier
Sous le ciel constellé ou gris sombre
Quand soufflent les brises raréfiées
Que tombe la rosée sans nombres.
Eté, printemps, automne et hiver
Le désir est toujours conquérant,
Tendre ou Violent, mais téméraire,
Berceur d’évasion et suggérant,
Puis soufflant chaud enfin affolant
Moissonnant les beaux champs de l’extase,
Sous l’ardeur des cœurs pris dans l’élan,
Quand la passion survoltée embrase.
Alors c’est la promesse de l’amour
Couronné de bonheur fastueux
Conçu sans magie par tes atours,
D’inégal panache somptueux.
De la nuit
Quel beau séjour dans les nuits longues
Quand âme ne vive, ne respire,
Que se tuent les mauvaises langues,
Epuisées tout le jour de médire.
Que vienne le temps de communier
Sous le ciel constellé ou gris sombre
Quand soufflent les brises raréfiées
Que tombe la rosée sans nombres.
Eté, printemps, automne et hiver
Le désir est toujours conquérant,
Tendre ou Violent, mais téméraire,
Berceur d’évasion et suggérant,
Puis soufflant chaud enfin affolant
Moissonnant les beaux champs de l’extase,
Sous l’ardeur des cœurs pris dans l’élan,
Quand la passion survoltée embrase.
Alors c’est la promesse de l’amour
Couronné de bonheur fastueux
Conçu sans magie par tes atours,
D’inégal panache somptueux.