Pour c
Sur la dune
Toi et moi, embrasés dans le feu de l’amour,
Au-delà de notre blanche koubba sereine,
Sur le sable doré de l’immense plaine
Qui brûle en été comme un immense four
Nous cherchons refuge au petit bois de peupliers
Elégants, Sveltes et hauts qui font de l’ombrage
Aux vignes qui croissent, les sarments repliés,
Captant la tombée de merveilleux plumages
D’oiseaux nichés entre les branches vertes
Qui au vent balancent pesamment avec bruit,
Du merle et rossignol, d’hirondelle ou fauvette
Aux chants féeriques tendrement mélodieux.
Sur la dune, toi et moi, nous étions couchés,
Allongés sur le dos, nos regards vers le ciel,
En quête d’évasion extatique recherchée,
Nos corps voluptueux en attente charnelle.
Mon chant de poétesse donna la mélodie
Dans ce havre de paix des Mille et une nuit,
Magnifiant ta beauté d’ange de paradis,
Louant ta volupté, attraits que l’on ne fuit.
Il réveillait tes sens à l’affût du désir,
Te chauffait de mille braises incandescentes,
Te murmurait les folles passions du délire
Et de ses mots brûlants tu étais pressante.
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