Dérive sur tes rives
Sur la mer, le bateau dérive par houle,
S’expose vaillamment aux forces déchaînées
Et moi, prisonnier de ton amour charnel,
Je tangue dans tes bras, en toi, abandonné.
Le bateau est plus fort, il trouve son salut,
Fend hardiment les flots, accoste sur un port,
Et moi battu de tes câlins si bien voulus,
J’échoue dans ton amour érotique très fort,
Quand ta peau de chaleur excessive s’empourpre,
Tes yeux azur brillent, ton cœur s’emballe trop,
Ta raison déserte, ton fol instinct sombre,
Tes sens te fouettent, ta voix ne dit un mot,
Tes cheveux se défont, tes sens se dressent,
Tes lèvres mûrissent, tes mains jouent tendrement,
Tes bras exquis se ploient et de fougue enlacent,
Tes instincts frémissent et vibrent insolemment.
Dérive sur tes rives
Sur la mer, le bateau dérive par houle,
S’expose vaillamment aux forces déchaînées
Et moi, prisonnier de ton amour charnel,
Je tangue dans tes bras, en toi, abandonné.
Le bateau est plus fort, il trouve son salut,
Fend hardiment les flots, accoste sur un port,
Et moi battu de tes câlins si bien voulus,
J’échoue dans ton amour érotique très fort,
Quand ta peau de chaleur excessive s’empourpre,
Tes yeux azur brillent, ton cœur s’emballe trop,
Ta raison déserte, ton fol instinct sombre,
Tes sens te fouettent, ta voix ne dit un mot,
Tes cheveux se défont, tes sens se dressent,
Tes lèvres mûrissent, tes mains jouent tendrement,
Tes bras exquis se ploient et de fougue enlacent,
Tes instincts frémissent et vibrent insolemment.