Écrire est art épineux nécessitant une ouverture sur l’autre « l’étranger » et sur son patrimoine culturel et historique, cette mission serait grandement accomplie car votre œuvre Marguerite replace le quotidien algérien méconnu part les algériens eux –mêmes ; historiens, auteurs littéraires voire par les profanes. Il en va de même pour la Grande ode.
Je vous félicite de votre courage et patience car vous avez mis vos premiers pas vers la reconnaissance littéraire attestée par les français eux-mêmes, ce qui n’est pas permit à tout le monde.
Dans l’attente de publier le deuxième tome de Marguerite, je vous souhaite une bonne continuation.