lettre d'amour; ahmed bencherif

Comme c'est triste, tu n'es pas là, un rendez-vous d'amour raté, une soif restée sur sa sécheresse, une passion inassouvie. oh combien d'heures, j'ai du compter pour atteindre ma plage de nuit déserte sans toi; oh combien était immensément heureuse mon attente pour te retrouver la nuit. Mais tu n'es pas là et je sais que tu ne viendrais pas ce soir, malgré ce message reçu me disant que tu es près de moi. mais tu n'es pas là, tu n'es pas près de moi. toutes les nuits ont leur romance et je ne sais comment sera ta nuit. ma nuit, il est certain, est solitaire chargée de mélancolie, de chagrin. Etait-ce là cette fête à laquelle tu m'avais convié pour la nuit. qu'ai-je donc pour ambrer encenser parfumée ma nuit. Tu as emporté avec toi, l'encens, le parfum, l'ambre. Qu'ai-je donc pour égayer ma nuit? tu as emporté avec toi la joie, le divertissement, la chanson, la musique. Que me reste-t-il alors. Un océan de tristesse où je me noie et dont j’atteins les abysses ténébreuses, plus noires que cette nuit profonde sans toi. Viens, je t'attends, je ne verrai ni à droite ni à gauche; je ne verrai là ou là que pour te voir et seulement toi. et tu le sais comme tu sais que je ne dirai tendresse à aucune autre femme.viens je t'attends, viens je t'aime , je t'aime ma jeune épousée, ma tendre Aprodite.

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